Les nuits d'été, lorsque l'air chaud et humide se refroidit, la vapeur d'eau se condense et est expulsée sous formes de gouttelettes qui se déposent à la surface des végétaux.
Jardin de Métis, en Gaspésie (16 juillet 2006)
jeudi 21 décembre 2006
Gouttes de rosée
mercredi 20 décembre 2006
Thé du labrador (Rhododendron groenlandicum)
Le thé du labrador (Rhododendron groenlandicum) affectionne les sols acides et humides des sous-bois de conifères et les tourbières d'Amérique du Nord. Cette plante doit son nom aux amérindiens qui l'utilisaient comme plante médicinale et condiment.
lundi 20 novembre 2006
Jeune loup marin (Phoca vitulina)
Un jeune phoque rencontré dans la baie Rivière Éternité, Parc national du Saguenay (septembre 2006)
Le phoque commun, appelé loup marin au Québec, fréquente les eaux côtières, les baies et l'embouchure des fleuves En été, il passe de longues heures à se reposer sur les rochers, les récifs et les bancs de sable découverts par la marée.
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jeudi 19 octobre 2006
Brumes matinales
Lac de la Vieille, Réserve faunique de la Vérendrye, De 2006-08-Vérendrye |
samedi 14 octobre 2006
Le Rocher Percé
Surgit du fond de l'océan il y a 350 millions d'années, ce géant de 5 millions de tonnes de calcaire rouge et jaune a été modelé par les flots, les vents et le gel. L'écroulement d'une seconde arche le 17 juin 1845 a donné naissance au monolithe.
Le Rocher perçé, vue en mer à bord du traversier "Anna Lucie" De Gaspésie 2006 |
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mercredi 4 octobre 2006
samedi 23 septembre 2006
dimanche 10 septembre 2006
La tache goudronneuse
Depuis la mi-août, les citoyens de Montréal qui fréquentent le parc du Mont-Royal auront eu la surprise d'observer la chute prématurée des feuilles des érables. C'est le résultat de l'action d'un champignon microscopique, Rhytisma acerinum, responsable de la maladie foliaire de "la tache goudronneuse". Passant l'hiver dans le tapis de feuilles mortes, le champignon phytopathogène, qui s'attaque principalement à l'érable de Norvège, à l'érable rouge, à l'érable argenté et à l'érable à sucre, s'est développé et propagé à la faveur des conditions climatiques particulièrement humides cette année. L'infestation se traduit par l'apparition au cours de l'été de taches goudronneuses noires (d'environ 1 cm de diamètre) sur les feuilles, provoquant une diminution de leur capacité photosynthétique puis leur chute précoce. Bien que les dommages soient rarement graves pour les arbres, des infestations répétées peuvent cependant les affaiblir et les rendre plus sensibles à d'autres maladies et aux attaques d'insectes. Pour réduire l'infestation au printemps suivant, il est donc conseillé de ramasser les feuilles mortes et de les brûler ou d'en faire du compost à l'automne.
> Pour en savoir plus sur la tache goudronneuse, consultez le site du Service canadien des forêts ou du Jardin botanique de Montréal
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samedi 2 septembre 2006
Baie de la rivière Éternité (Fjord du Saguenay)
Dans le majestueux fjord du Saguenay, la baie de la rivière Éternité est encadrée par le cap Trinité (305 m) et le cap Éternité (350 m). Un sentier pédestre relie les deux caps.
La baie de la rivière Éternité, vue depuis le sommet du Cap Éternité (350 m), Parc national du saguenay De Saguenay 2006 |
Paysages découverts le long du sentier des caps, du Cap Trinité au Cap Éternité
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mardi 22 août 2006
Plateau du Mont-Albert
Mont-Albert, Parc national de la Gaspésie (juillet 2006)
Le plateau du Mont-Albert s'élève à un peu plus de 1000 m. d'altitude et couvre un territoire de près de 20 Km2 de toundra de type arctique-alpine. Provenant d'un fragment océanique émergé lors la formation des Appalaches il y a 480 millions d'années, le Mont Albert est principalement constitué de serpentine, une roche à la couleur orangée, caractéristique des profondeurs océaniques. La présence la serpentine, qui nuit à la croissance des plantes, et le microclimat ont favorisé la toundra constituée de lichens, de mousses, de petites plantes grasses et des fleurs colorées bien adaptés aux conditions particulières du sol.
dimanche 30 juillet 2006
Caribou de la Gaspésie (Rangifer tarandus caribou)
Un jeune caribou gambade dans la toundra alpine du Mont Jacques Cartier (1270 m).
La petite harde de la péninsule gaspésienne est l'unique relique de la population de caribous des bois (Rangifer tarandus caribou) des Maritimes qui vivait au sud et à l’est du fleuve Saint-Laurent. Le recul des vieilles forêts de conifères des Maritimes, suite aux activités forestières et minières, et la chasse ont entraîné leur disparition. Le troupeau de la Gaspésie est actuellement évalué à quelques 200 caribous répartis dans les hauts sommets des Monts McGerrigle, des Monts Chic-Chocs (Albert et Logan) et des forêts de conifère avoisinantes. Le climat rigoureux et la flore arctique du massif gaspésien offrent des conditions propices à son développement mais la population reste très vulnérable et est toujours menacée de disparition. Des mesures de rétablissement de la population sont actuellement en cours. Malgré la prédation par l'ours noir et le coyote et la perturbation de son habitât par les activités humaines, le taux de survie des faons a légèrement augmenté ces dernières années.
> En savoir plus sur le caribou de Gaspésie [Faune québec] et le caribou au Canada [Faune et Flore du pays]
Le jeune caribou retrouve sa mère sur les crêtes rocheuses.
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Les Vasières de Matane
Photo : Vasière de l'Étang à la truite (site d'observation de l'orignal), Réserve faunique de Matane (Gaspésie, Québec), 15 juillet 2006
Les vasières sont des sources minérales naturelles qui jaillissent du sol. Phénomènes plutôt rares au Québec, elles sont cependant très nombreuses dans la réserve faunique de Matane où elles favorisent la présence en grand nombre des orignaux. Très chargées en sels minéraux, ces vasières sont en effet très appréciées des orignaux qui viennent s'y abreuver au cours de l'été. En particulier, elles permettent de fournir aux femelles un apport essentiel en sels minéraux pendant la période de reproduction. Après quelques longues heures d'attentes à la brunante et au cours de la matinée suivante, aucun orignal n'a été aperçu !!!
Pavot bleu de l'Himalaya (Meconopsis betonicifolia)
Les Jardins de Métis, Grand Métis (16 juillet 2006)
Introduit par Elsie Redford dans les années 1930, le pavot bleu de l'Himalaya est devenu l'emblème floral des Jardins de Métis, qui rassemblent près de 3000 espèces et variétés de plantes indigènes et exotiques. Originaire des gorges de Tsangpo dans le sud-est du Tibet (3000 à 4000 m. d'altitude), le pavot bleu de l'Himalaya (Meconopsis betonicifolia) s'est parfaitement adapté au climat frais et humide qui règne sur le littoral sud du fleuve Saint Laurent dans ce paradis végétal gaspésien.
> Les Jardins de Métis
Introduit par Elsie Redford dans les années 1930, le pavot bleu de l'Himalaya est devenu l'emblème floral des Jardins de Métis, qui rassemblent près de 3000 espèces et variétés de plantes indigènes et exotiques. Originaire des gorges de Tsangpo dans le sud-est du Tibet (3000 à 4000 m. d'altitude), le pavot bleu de l'Himalaya (Meconopsis betonicifolia) s'est parfaitement adapté au climat frais et humide qui règne sur le littoral sud du fleuve Saint Laurent dans ce paradis végétal gaspésien.
> Les Jardins de Métis
Les Vasières de Matane
Vasière de l'Étang à la truite (site d'observation de l'orignal), Réserve faunique de Matane (Gaspésie, Québec), 15 juillet 2006
Les vasières sont des sources minérales naturelles qui jaillissent du sol. Phénomènes plutôt rares au Québec, elles sont cependant très nombreuses dans la réserve faunique de Matane où elles favorisent la présence en grand nombre des orignaux. Très chargées en sels minéraux, ces vasières sont en effet très appréciées des orignaux qui viennent s'y abreuver au cours de l'été. En particulier, elles permettent de fournir aux femelles un apport essentiel en sels minéraux pendant la période de reproduction. Après quelques longues heures d'attentes à la brunante et au cours de la matinée suivante, aucun orignal n'a été aperçu !!!
vendredi 28 juillet 2006
La Falaise de Miguasha
Parc national de Miguasha, Miguasha (Gaspésie, Québec), 28 juillet 2006
Dans la Baie des Chaleurs, la petite falaise longeant l'estuaire de la rivière Ristigouche renferme des fossiles de poissons et de plantes datant de 378 millions d'années (Dévonien). Au cours de cette période géologique appelée aussi "l'âge des poissons", les grès de la formation d'Escuminac se sont déposés dans l'estuaire d'un grand fleuve qui se jetait dans l'océan proto-Atlantique, emprisonnant de nombreuses espèces animales et végétales.
» En savoir plus sur le Parc national de Miguasha
Dans la Baie des Chaleurs, la petite falaise longeant l'estuaire de la rivière Ristigouche renferme des fossiles de poissons et de plantes datant de 378 millions d'années (Dévonien). Au cours de cette période géologique appelée aussi "l'âge des poissons", les grès de la formation d'Escuminac se sont déposés dans l'estuaire d'un grand fleuve qui se jetait dans l'océan proto-Atlantique, emprisonnant de nombreuses espèces animales et végétales.
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Dans la Baie des chaleurs, la falaise fossilifère de Miguasha longe l'estuaire de la rivière Restigouche. Miguasha signifie "terre rouge" en langue Mik'mak.
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Archaeopteris
L'Archeopteris est un arbre fossile qui vivait dans la région de Miguasha au Dévonien supérieur, il y a 380 millions d'années. Il est considéré par les paléontologues comme le premier grand arbre à coloniser la planète. Son feuillage ressemblait aux frondes des fougères actuelles. Ancêtre des conifères, l'Archeopteris se reproduisait, comme les fougères, avec des spores. Il fût découvert à la fin du 19e siècle par le paléobotaniste J. William Daws dans la formation d'Escuminac de Miguasha.
» En savoir plus sur l'Archeopteris (Parc national de Miguasha)
Fragment d'une fronde d'Archaeopteris, Parc national de Miguasha en Gaspésie
» En savoir plus sur l'Archeopteris (Parc national de Miguasha)
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jeudi 27 juillet 2006
Toile d'araignée
mercredi 26 juillet 2006
Barachoix de Tracadèche
Le barachoix de Tracadièche ou banc de Carleton forme une lagune littorale qui est un sanctuaire écologique pour de nombreuses espèces d'oiseaux de rivages marins tel que le grand héron, le cormoran, le goéland à manteau noir, la bernache du Canada et le canard. En langue micmac, Tracadigash signifie "lieu où il y a des hérons".
De Gaspésie 2006 |
lundi 24 juillet 2006
Fous de Bassan de Bonaventure
La colonie de Fou de Bassan s'étend sur la côte est de l'ïle Bonaventure, "la face cachée de l'île", de la Pointe à Margaulx à la corniche aux Goélands, Parc national de l'Île Bonaventure, Percé
Deuxième plus importante au monde, la colonie de Fous de Bassan (Morus bassanus) de l'île Bonaventure compte près de 110000 individus. Ils nichent sur le plateau et dans les aspérités des parois rocheuses du Sud-est de l'île. Au sein de la multitude, chaque couple défend un territoire d'environ 80 cm de diamètre. De retour chaque année à la fin mars, les couples y élèvent un petit, avant de migrer vers les côtes de la Caroline et de la Floride à la fin d'octobre pour y passer l'hiver.
» En savoir plus sur le Fou de Bassan : [Faune et Flore du Pays]
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La colonie de Bonaventure
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dimanche 23 juillet 2006
Gespeg, la fin de la terre
La presqu'île de Forillon constitue l'extrémité orientale de la chaîne des Appalaches qui se jette dans les eaux du golfe du Saint-Laurent.Avant d'accueillir des villages de pécheurs de morue sous le régime britannique, les anses de la péninsule gaspésienne étaient fréquentées depuis 9000 ans par des paléoamérindiens puis par les Micmacs, "les indiens de la mer". À la pointe de la presqu'île, le Cap Gaspé rappelle par sa toponymie la présence amérindienne, Gespeg signifiant "le bout du monde" en langue micmac.
Le cap Bon Ami, vu de puis le Mont Saint-Alban (283 m), Parc national de Forillon De Gaspésie 2006 |
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vendredi 21 juillet 2006
Vestige
Au sommet du Mont Ernest Laforce (820 m), la forêt a été ravagée par un incendie dans les années soixante. De l'ancienne forêt, il ne reste que quelques vestiges d'arbres blanchis par le climat rigoureux tandis que les herbes envahissent l'espace ouvert aux vents. Plus bas, la forêt se régénère et les jeunes bouleaux offrent aux orignaux et aux cerfs de Virginie une alimentation abondante. Au loin, dans les brumes, se dessinent les Monts Chic-Chocs.
Mont Ernest Laforce, Parc national de la Gaspésie De Gaspésie 2006 |
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jeudi 20 juillet 2006
Mont Jacques Cartier (1270 m)
De Gaspésie 2006 |
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