La forêt recouvre la partie ouest de l'ile Saint-Bernard. Elle est constituée, entre autres, de chênes, de hêtres et d'érables.
Fin mars, la glace et la neige persistent dans les sous bois.
Un Cardinal rouge mâle (Cardinalis cardinalis, Cardinalidae) dont le plumage rouge détone au milieu de la sloche ou névasse (neige gorgée d'eau)
Une Sittelle à poitrine blanche (Sitta carolinensis, Sittidae), curieuse et bruyante, émet de petits cris et sifflements pour nous signaler sa présence et obtenir quelques graines. Omnivore, elle se nourrit aussi bien de graines que d'insectes (cochenilles, psylles, charançons).
Vue sur le Mont-Royal et le centre ville de Montréal depuis la pointe Nord de l’île Saint-Bernard
Le Bruant chanteur (Melospiza melodia, Emberizidae) est un passereau qui affectionne les fourrés et buissons en bordure des étangs. Il est principalement granivore.
L'érablière à caryers inondée par la fonte des neiges
À la fonte des neiges, le marais envahit les sous bois et devient marécage.
Une Bernache du Canada (Branta canadensis, Anatidae), appelée aussi Outarde, traverse la petite digue pour rejoindre le marais.
Le marais et les friches au centre de l'île Saint-Bernard
Un couple de bernaches qui semble figé sur la glace... pour l'éternité
Un jeune Cerf de Virginie (Odocoileus virginianus, Cervidae) à la recherche de nourriture dans les friches
Sur les berges inondées de la rivière Châteauguay, la base d'un tronc rongé témoigne de la présence d'un castor.
Le niveau de l'eau est descendu si rapidement que de petites plaques de glace sont restées accrochées à la base des arbres.
Un autre couple de bernache, jouant à cache cache dans les friches
Un rat musqué (Ondatra zibethicussur, Cricetidae) sur les berges encore glacées de la rivière Châteauguay
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