Paysage d'hiver dans le parc national de Frontenac en Estrie
samedi 31 décembre 2005
Lac à la barbue
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mercredi 14 décembre 2005
Miam Maikan
Loup des bois (Canis lupus) au pelage blanc, Écomusée de Sainte-Anne-de-Bellevue, île de Montréal (Décembre 2002)
"Il était une fois
un grand loup blanc
apparu un soir d'été
libre comme l'air
Partout dans les terres
j'étais une terreur
de race fière
on me disait meurtrier
Je hurle à la lune
dans ma solitude
me sauvant dans les brumes
devant la multitude"
Chanson de Florent Vollant et Éric Lapointe (Katak, 2003)
lundi 28 novembre 2005
Benoîte des montagnes (Geum montanum)
La benoite des montagnes (Geum montanum) est une plante rosacée très commune dans les montagnes européennes.
Fruit plumeux de la benoite des montagnes, Parc national de la Vanoise (août 2005) De 2005-07-Alpes |
Joubarbe des montagnes (Sempervivum montanum)
Robuste et résistante à la sécheresse, la jourbarbe des montagnes (Sempervivum montanum) est une plante grasse (crassulacée) qui affectionne les sols montagneux bien drainés.
Joubarbe des montagnes au pied du col de l'Iseran dans le parc national de la Vanoise (juillet 2005) De 2005-07-Alpes |
dimanche 13 novembre 2005
Les mélèzes du Queyras
Les randonneurs qui se sont promenés cet été dans le Queyras (Alpes françaises) auront pu s'inquiéter de constater qu'une grande partie des mélèzes étaient bruns et perdaient leurs aiguilles.
Forêt de mélèzes dans la vallée du Haut-Guil, près du hameau de l'Échalp, parc naturel régional du Queyras (9 juillet 2005)
En fait, périodiquement, les forêts de mélèze du Queyras prennent cette étrange couleur brune. C'est le résultat de l'action d'un petit papillon dont les chenilles dévorent les aiguilles. La tordeuse du Mélèze (Zeiraphera diniana Gn.) revient en moyenne tous les 8 à 10 ans et pullule pendant 2 à 3 ans. Leur présence témoigne d'un bon équilibre biologique entre l'arbre et l'insecte car la défoliation des mélèzes ne provoque pas leur mort.
>En savoir plus sur la Tordeuse du mélèze (site externe)
Essence de lumière, le mélèze (Larix decidua) est très résistant au froid et affectionne l'air sec et la lumière de haute montagne. Essence pionnière, il colonise les éboulis et les cones de déjections et d'avalanches jusqu'à une altitude de 2500m. Conifère au feuillage aérien, le mélèze est le seul conifère dont les aiguilles jaunissent et tombent en automne. D'une longévité remarquable, il peut vivre entre 300 et 500 ans.
Forêt de mélèzes dans la vallée du Haut-Guil, près du hameau de l'Échalp, parc naturel régional du Queyras (9 juillet 2005)
En fait, périodiquement, les forêts de mélèze du Queyras prennent cette étrange couleur brune. C'est le résultat de l'action d'un petit papillon dont les chenilles dévorent les aiguilles. La tordeuse du Mélèze (Zeiraphera diniana Gn.) revient en moyenne tous les 8 à 10 ans et pullule pendant 2 à 3 ans. Leur présence témoigne d'un bon équilibre biologique entre l'arbre et l'insecte car la défoliation des mélèzes ne provoque pas leur mort.
>En savoir plus sur la Tordeuse du mélèze (site externe)
Essence de lumière, le mélèze (Larix decidua) est très résistant au froid et affectionne l'air sec et la lumière de haute montagne. Essence pionnière, il colonise les éboulis et les cones de déjections et d'avalanches jusqu'à une altitude de 2500m. Conifère au feuillage aérien, le mélèze est le seul conifère dont les aiguilles jaunissent et tombent en automne. D'une longévité remarquable, il peut vivre entre 300 et 500 ans.
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Les coquelicots sont revenus ... pour que la terre ne meure pas !
En Bretagne, des coquelicots poussent en bordure d'un champ de la commune de Fréhel, Côtes d'Armor (21 juin 2005)
Les questions relatives à la protection des plantes et à la lutte contre les insectes nuisibles sont d'une importance primordiale en agriculture mais aussi en santé humaine et animale. Les organismes nuisibles (insectes ravageurs ou vecteurs, champignons phytopathogènes, adventices, etc.) et les moyens utilisés pour les combattre ou les contrôler ont de multiples conséquences sur l'état des écosystèmes naturels, sur la qualité de l'environnement et de notre alimentation, et sur la vie des populations rurales et autochtones. Suite aux effets néfastes de l'utilisation intensive des pesticides chimiques et aux nouvelles craintes suscitées par la prolifération des plantes transgéniques, il devient nécessaire de développer de nouvelles méthodes de contrôle des organismes nuisibles dans le cadre d'un modèle agricole plus respectueux de l'environnement et des paysans.
PEST'Infos est un nouveau site dont l'objectif est d'informer un large public sur ces importantes questions. Spécialisé dans les domaines du contrôle des nuisibles et de la protection des végétaux, PEST'Infos présentera régulièrement une revue d'actualités et assurera une veille scientifique sur différents thèmes (pesticides, plantes transgéniques, insectes, phytoprotection, forêts, santé humaine, biodiversité et environnement).
> Visiter PEST'Infos : http://pestinfos.site.voila.fr
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lundi 7 novembre 2005
Reflets d'eau
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samedi 29 octobre 2005
Couleurs de Tadoussac
Embouchure du Fjord du Saguenay, Tadoussac De Chemineau |
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lundi 10 octobre 2005
La brunante
Un des plus beaux couchers de soleil que j'ai vu...
Coucher de soleil sur le lac Monroe, parc national du Mont-Tremblant De Mont Tremblant 2005 |
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mercredi 5 octobre 2005
Hautes Laurentides
Au détour du sentier du centenaire, Parc national du Mont-Tremblant De Mt Tremblant 2005 |
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jeudi 28 juillet 2005
Grande gentiane (Gentiana lutea)
La grande gentiane ou gentiane jaune (Gentiana lutea) est une grande herbe vivace et robuste qui pousse dans les massifs montagneux d'Europe dont les Alpes. Son rhizome et ses racines servent à la fabrication de la liqueur de gentiane, une boisson apéritive alcoolisée très prisée dans les Alpes. La grande gentiane est aussi utilisée en pharmacie pour soulager divers troubles digestifs ou comme antiseptique. En raison de sa récolte artisanale et industrielle, la plante s'était un temps raréfiée.
Hampes florales de la grande gentiane, Col de l'Aulp (1424 m) De Alpes 2005 |
Arnica des montagnes (Arnica montana)
L'arnica est réputée pour ses vertus médicinales. Elle est utilisée en pommade pour soigner les bleus et les contusions ainsi qu'en homéopathie pour le traitement des douleurs musculaires.
L'arnica (Arnica montana) pousse en abondance sur les pelouses alpines du parc naturel régional du Queyras (août 2005) De Alpes 2005 |
lundi 11 juillet 2005
Lac Souliers (2492 m)
Dans le parc naturel régional du Queyras, le lac Souliers est dominé par les crêtes de Cote Belle et des Oules.
De 2005-07-Alpes |
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Les moutons du Queyras
Le berger soigne une brebis blessée.
Troupeau de mouton aux abords du lac Souliers dans le parc naturel régional du Queyras De Alpes 2005 |
dimanche 10 juillet 2005
Fuste
Dans le Queyras, les fermes traditionnelles sont surmontées d'une fuste faite de tronc de mélèze. La fuste abritait la récolte de fourrage qui servait à alimenter les bêtes durant la longue période d'hiver.
Fuste à Saint-Véran dans le Queyras (Hautes-Alpes) De Alpes 2005 |
Bergerie de Saint-Véran
Bergerie en ruine sur le sentier des crêtes de la croix, Saint-Véran (parc naturel régional du Queyras) De Alpes 2005 |
samedi 9 juillet 2005
Vallée du Mélezet
Crête de la montagne du Riou vert, parc naturel régional du Queyras De Alpes 2005 |
Lac Miroir ou Soubeyrand (2214 m)
Derrière le lac Miroir se dresse le Pas du Curé et la pointe de la Saume (parc naturel régional du Queyras) De Alpes 2005 |
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vendredi 8 juillet 2005
Les Grands Goulets
Dans le massif du Vercors, la Vernaison a creusé un étroit défilé, les Grands Goulets, où la végétation est luxuriante. À la sortie du défilé, la cascade de la Vernaison s'élance sur plus de 200 m de chute.
Grands Goulets, Parc naturel régional du Vercors
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mardi 5 juillet 2005
Mer de Glace
Langue terminale de la Mer de glace vue depuis Montenvers (Massif du Mont-Blanc) De Alpes 2005 |
La Mer de Glace se développe au sein du massif du Mont-Blanc sur 2 500 mètres de dénivelée, entre 3 900 m et 1 400 m d'altitude. Les bédières, rigoles creusées à la surface du glacier par les eaux de ruissellement, peuvent atteindre 10 à 15 mètres de profondeur. Jusqu'en 1820, la Mer de Glace était visible depuis Chamonix. Mais chaque année, elle se rétracte petit à petit et l'on ne peut aujourd'hui en distinguer qu'une seule partie. Les immenses moraines en bordure du glacier sont autant de traces de ce mouvement. Formées à de plus basses altitudes que celles des Bossons, ces glaces sont soumises au gel et dégel et à la percolation de l'eau ce qui lui donne des reflets de couleur bleu dans sa langue terminale. La fonte et le recul des glaciers de haute montagne est l'un des impacts les plus visibles du réchauffement climatique en cours.
» Voir des Photos de la Mer de glace en 1910 et en 2001 (Greenpeace)
La Mer de glace vue depuis le Montenvers (Chamonix)
Plan de l'Aiguille
Paysages découverts sur le sentier de Montenvers au Plan de l'Aiguille du Midi...
Le sentier menant au Plan de l'Aiguille (2333 m) traverse la toundra De Alpes 2005 |
Lac Bleu (2299 m)
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dimanche 3 juillet 2005
Bouquetin des Alpes (Capra ibex)
Bouquetins rencontrés sur le sentier de la Tournette dans le Massif des Bornes (Haute-Savoie) De 2005-07-Alpes |
samedi 2 juillet 2005
Abondance
Silhouette fine, pattes solides, tête blanche et yeux auréolés de "lunettes" acajou, l'Abondance est une race de vaches, originaire du Chablais savoyard, particulièrement bien adaptée aux conditions difficiles des montagnes. Elle fait partie du troupeau alpin, qui a plus de 2000 m d'altitudes contribue à l'entretien des herbages. Symbole de la Haute-Savoie, son lait riche en protéines convient parfaitement à la fabrication de savoureux fromages comme le Reblochon, la Tomme de Savoie et le Beaufort.
Vaches dans les alpages du Col de l'Aulp (1424 m), Massif des Bornes (Haute-Savoie)
Chaque soir, les vaches viennent se faire traire à l'étable du col de l'Aulp dans le massif des Bornes (Haute-Savoie) De Alpes 2005 |
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vendredi 1 juillet 2005
Mont Blanc (4810 m)
Au soleil couchant, les neiges éternelles du Mont Blanc prennent une couleur rose.
Le Mont Blanc et les massif des Bornes et des Aravis (au premier plan) vus depuis le crêt de Châtillon, Montagne de Semnoz (1699m) De Alpes 2005 |
mardi 28 juin 2005
Grenouille léopard (Rana pipiens ou Lithobates pipiens)
La grenouille Léopard (Rana pipiens ou Lithobates pipiens), grande consommatrice d'insectes, fût introduite dans l'île d'Anticosti en 1895 pour lutter contre les moustiques et les mouches noires.
Grenouille léopard à l'affût dans le canyon de la rivière Brick (août 2002) De Anticosti 2002 |
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lundi 23 mai 2005
Vérâtre Vert (Veratrum viride)
Le déploiement de ces grandes feuilles d'un vert si vif est l'un des premiers signes du printemps dans les bois humides de l'est du Québec. Plante robuste, appelée plus communément Tabac du diable, le Vérâtre Vert (Veratrum viride) envahit certains pâturages et peut causer des empoisonnements chez les bestiaux.
La grande coulée, Parc régional des Appalaches
mardi 17 mai 2005
Trille grandiflore (Trillium grandiflorum)
Plante vivace à rhizome, la Trille grandiflore fleurit au printemps dans les bois d'arbre feuillus. Ses fleurs blanches durent longtemps, et sont pendant le mois de mai l'ornement principal des bois, particulièrement autour des collines montérégiennes.
Trille grandiflore (Trillium grandiflorum), Parc du Mont-Royal (Montréal)
vendredi 29 avril 2005
AdVertcité - Front vert pour la défense des zones humides du sud du Québec
Lac des battures, Boisé Saint-Paul, l'île des soeurs, Montréal - 17 avril 2005
Les derniers 30 ha. de boisé de l'île des Soeurs, qui abritent une riche biodiversité faunique et végétale, sont actuellement menacés de diparition par le développement de projets immobiliers
À la faveur du développement immobilier qui a connu une poussée fulgurante ces dernières années et des pressions grandissantes de l’agriculture industrielle, les derniers boisés et milieux humides du sud du Québec sont livrés en pâture aux intérêts privés. Cette dilapidation de notre patrimoine naturel a provoqué une véritable levée de boucliers dans la population et a conduit à l'émergence d'une multitude de groupes de citoyens opposés à ces développements sauvages.
La nature débarque en ville : Samedi 30 avril, le FRONT VERT organise à Montréal une grande manifestation pour la sauvegarde des milieux naturels dans le sud du Québec.
>En savoir plus (site AdVertcité)
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samedi 23 avril 2005
Raton laveur (Procyon lotor)
Tel un chat sauvage, le raton laveur grimpe facilement aux arbres pour se réfugier d'éventuels prédateurs. Il peut aussi bien en descendre la tête en bas que de reculons. Le raton peut également sauter au sol sans se blesser, courir et nager.
Le raton laveur affectionne les zones boisées à proximité des cours d'eau. Mais, ce petit mammifère s'adapte aussi très bien en milieu urbain. Ainsi, à la nuit tombante, il n'est pas rare de les observer à la recherche de nourriture dans les poubelles des parcs urbains ou dans les potagers des banlieusards.
Le raton laveur affectionne les zones boisées à proximité des cours d'eau. Mais, ce petit mammifère s'adapte aussi très bien en milieu urbain. Ainsi, à la nuit tombante, il n'est pas rare de les observer à la recherche de nourriture dans les poubelles des parcs urbains ou dans les potagers des banlieusards.
jeudi 21 avril 2005
Symplocarpe fétide
Connue aussi sous le nom de Tabac du diable ou de Chou puant, le symplocarpe fétide (Symplocarpus foetidus, famille des Aracées) dégage une odeur très forte qui attire les mouches et les abeilles pouvant ainsi faciliter sa fécondation. Elle abonde dans les marais et bois humides de l'estuaire et des îles du Saint-Laurent. Sa floraison, dès la fonte des neiges, est un des premiers signes du printemps.
Symplocarpe en fleurs (spathe), Boisé Saint-Paul, Île des Sœurs (Montréal)
mercredi 20 avril 2005
Goéland à bec cerclé (Larus delawarensis)
Adulte planant en stationnaire au dessus du lac des battures, Boisé de l'île des sœurs, Verdun
Chaque année, au cours du mois de mars, les Goélands à bec cerclé (Larus delawarensis) reviennent nicher sur les berges du Saint-Laurent et des lacs du sud du Québec. Leurs cris aigus résonnent à nouveau dans le centre ville de Montréal et annoncent le retour prochain du printemps. Les goélands repartiront à l'automne vers le golfe du Mexique ou les côtes de l'Atlantique pour hiverner. Comme son nom l'indique, le goéland à bec cerclé se reconnait facilement grâce à son petit bec jaune orné d'un anneau noir.
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dimanche 17 avril 2005
Caligraphie xylophage
En creusant sous l'écorce d'un vieil arbre, l'insecte xylophage dessine un véritable réseau de galeries (Boisé de l'Île des Sœurs, Montréal)
lundi 21 mars 2005
La survie du Monarque menacée
Inexorablement, la situation du monarque (Danaus plexippus) en Amérique du Nord se détériore. Chaque année, le célèbre papillon migrateur noir et orange parcourt des milliers de kilomètres qui le mènent du Canada et des Etats-Unis jusqu'au Mexique, où il passe l'hiver avant de repartir au printemps vers les contrées septentrionales pour y pondre ses oeufs. Cet hiver, les populations qui ont rejoint le Sud ont été les plus faibles enregistrées depuis que le Mexique et le World Wildlife Fund (WWF) ont commencé leurs décomptes dans les années 1970 (-75% par rapport à 2003). Bien sûr, les monarques ont par le passé prouvé leur capacité à surmonter des chutes de populations aussi drastiques, liées notamment à de violents orages. Mais les biologistes craignent aujourd'hui que la détérioration de l'habitat naturel du lépidoptère ne conduise à un point de non-retour. Des photos satellites analysées par des chercheurs américains montrent que les ressources boisées des quelques 56000 hectares de la Monarch Butterfly Biosphere Reserve continuent d'être illégalement détruites. Parallèlement à la déforestation mexicaine, les monarques doivent faire face à la disparition aux Etats-Unis et au Canada des plantes qui nourrissent le papillon et ses larves, en raison des herbicides de plus en plus puissants utilisés pour traiter les cultures résistantes de soja et de maïs génétiquement modifiés. Pour de nombreux écologistes, seul un plan d'action concerté entre les trois pays concernés pourra désormais assurer la survie du monarque à long terme. Source : InfoScience ; Réf. : McKinley Jr., James C., Chain Saw Thins Flocks of Migrants on Gold Wings, The New York Times 03/14/05
dimanche 13 mars 2005
Meteor Crater : une nouvelle hypothèse
Meteor Crater 99.09.04 De Arizona |
Il y a 50 000 ans environ, l'actuel désert de l'Arizona a été frappé par une météorite pesant environ 300 000 tonnes creusant un cratère de 1 250 m de diamètre et de 180 m de profondeur : le Meteor Crater. Une nouvelle étude scientifique permet aujourd'hui de revisiter ses origine.
>En savoir plus sur notre-planete.info
lundi 28 février 2005
Expressions mycologiques
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